Mohammed Mourabiti "peint sans clameur, sans tapage", pour reprendre les mots d'Edmond Amrane El Maleh, les transformations de la société marocaine. Toute sa réflexion porte sur notre besoin d'introspection et de communication intérieure. Le sacré et l'image reçue sont autant de canaux de communication utilisés par les hommes pour se retrouver face à eux-même quand ils se sentent perdus. Sur ces toiles, il peint le marabout, haut-lieu du territoire marocain, qu'il délimite, qu'il rythme, qu'il relie avec le sacré, comme lieu de station et de mémoire. Puis au-dessus, il branche une antenne, une parabole, ce nouvel objet de communication. On ne sait plus qui émet et qui reçoit. Dans une société marocaine, où certains orientent leur parabole vers un nouvel orient médiatique, les marabouts incarnations architecturales du lien avec l'orient mystique semblent rester comme un lieu de station privilégié pour se retrouver.
Madame,
Je vous ai vue à l'oeuvre avec vos équipes à Assa. C'est franchement admirable. Le souvenir de ce qu'était le Ksar et de ce qu'il est aujourdhui est magnifique. Je pense venir vous proposer pendant les fêtes un projet (associatif) dans le Ksar. Etes-vous intéressée. Félicitations
Ali Ousalem, Liège
Rédigé par : Ousalem | 30 novembre 2006 à 21:12
salut
je suis en peintre portugais paulo robalo representé par la galerie www.arthobler.com e jáimerais avoir le contac email du peintre marocain M el Mourabiti sont site ne funcion et jaimerais parler de travaille avec lui.merci beaucoup
Rédigé par : paulo robalo | 16 mai 2009 à 18:58