Le Figaro Magazine publie cette semaine un article sur le Ksar d'Assa qui annonce mon cinquième livre sur ce projet, livre actuellement sous presse. Toute la difficulté d'une restauration-sensibilisation où les pratiques constructives traditionnelles étaient déconsidérées. Petit à petit, réhabilitées, comprises, les techniques traditionneles ont permis au Ksar de se redresser dans toute sa majesté Ceux-là mêmes qui aspiraient au départ à le "moderniser" se sont faits les chantres de la sauvegarde du lieu ! Ce 'nest plus une bataille modernes contre anciens à laquelle nous avons assistée, mais à une réappriation de l'histoire locale par les usagers du lieu. Trois mosquées ont été reconstruites, la zaouia a été restituée, tous les remparts, deux borjs, et une dizaine de demeures - reconverties dans des services de proximité - sont aussi re-nées de leurs ruines, tandis qu'un parcours et ne signalétique sont en cours d'installation.
Assa, cité du désert. La sauvegarde d'un port du Maroc présaharien.
Editions Les cinq parties du Monde/Editions DTGSN (Rabat)
Une version anglaise est en préparation.
Bravo Salima
si vous passez par Paris un de ces jours , je serais ravie de vous rencontrer.
Rédigé par : catherine willis | 19 août 2011 à 15:05
Deux chances peut avoir une architecte/anthropologue; anthropologue/architecte. 1) Etre Marocaine.
2) S'appeler Salima NAJI.
( avec mon respect à mon maitre le peintre Salvador DALI ).
Rédigé par : MOUSSA OU AMAR | 09 septembre 2011 à 23:25