Quand je rentre chez moi, je suis toujours surprise par la douceur des espaces. Chaque objet me parle et me rassure. Mon oeil caresse chacune des matières qui m'entourent. Me racontent cette absence. Cuir, terre crue, terre cuite, laine, henné, bois, plâtre ou tadelakt. Douceur. Rondeur des angles, courbes des lignes.
Et pourtant, les tables débordent. Papiers, courriers, dossiers, plans, l'ordinateur aussi regorge, déborde... Tant de chantiers en cours, tant de pages à terminer, tant de dossiers à clore, tant à faire !
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