Face aux bouleversements du monde, au changement climatique, à la perte des repères ou à une éthique quotidienne faite de simplicité et de respect d'autrui, il est temps de se retourner derrière soi pour mieux considérer l'avenir. L'heure aux plaidoyers est terminée, il faut passer à l'action. Il est temps aujourd'hui de comprendre la valeur avant tout climatique de cette architecture dans son écosystème judicieux de l'oasis, comprendre que nous pouvons — et devons ! — retirer des enseignements de d'embrasser notre héritage matériel et immateriel avec une conscience réelle de sa valeur pour les générations à venir.
L'on peut circuler longtemps dans son propre environnement sans en percevoir les richesses, ni ressentir la moindre émotion en posant ses pas dans les traces millénaires de nos aïeux.
Puis un jour, un trait de lumière, un trébuchement bouleverse le ronronnement désabusé du quotidien ...
Et tout devient plus simple, tout porte à cette action -si bien décrite ici par Salima- : -Poursuivre et transmettre par l'action ce génie hérité de la simplicité naturelle pour permettre d'envisager la construction sensible d'un futur éclairé.
Rédigé par : Stan-Yves Bontems | 22 septembre 2016 à 22:03
Le problème ici est le regard porté sur le monde. L'illusion de modernité. Par le gadget. On ne voit pas les mêmes choses hélas. Et peu de personnes - même du métier - voient cette beauté dont vous parlez. Car il faut être sensible, en mesure de s'émerveiller... La plupart n'y voient que misère, contraintes, fragilité, etc. Elle résonne négativement. C'est en train de changer bien sûr, mais c'est très timide encore.
Rédigé par : salima | 25 septembre 2016 à 23:17