La grotte de Wadi Sorast (Egypte) également connue pour ses treize « mains négatives ». Une technique, fréquemment utilisée dans l’art pariétal, qui consiste à poser une main sur une paroi rocheuse, sur laquelle on souffle ensuite des pigments à la manière d’un pochoir. Particularité , les mains représentées sont de très petite taille. Longtemps, les archéologues, en particulier ceux de l’université de Cologne qui ont étudié la grotte en 2010, ont pensé qu’il s’agissait de mains d’enfants. Il s'agit en fait de pochoir de varans.
Très surprenant !
L'on cherche avant tout une approche anthropique en regardant ces mains, par réflexe atavique ? (mains d'enfants)...
Pour se souvenir après un peu de recul que les Varans aussi sont dotés de mains;
Elles contribuent -pour eux comme pour nous- à la matérialisation et à l'édification de la pensée, du regard.
Rédigé par : Stan-Yves Bontems | 10 octobre 2017 à 22:19