Nous voulions utiliser une technique à joints secs présente régionalement. Mais la présence, abondante des scorpions, a empêché de garder le procédé pour les intérieurs.
« FAUT PAS RÊVER sur le Maroc diffusée lundi 5 février à 20h40 sur France 3 | Accueil | Résister. Effritement des pratiques constructives. »
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Bravo pour cette magnifique réalisation. Faire du bioclimatique en perfectionnant l'architecture vernaculaire, ça ne coûte pas plus cher. Enfin une architecte qui a compris les enjeux culturels et patrimoniaux du royaume du Maroc. Belle démarche architecturale qui permet de sauvegarder des techniques de constructions ancestrales en perditions. Encore une fois, bravo pour ce magnifique projet.
Rédigé par : Jean-Charles | 03 mai 2018 à 19:27
L'architecture vernaculaire survivra aux modes ,
aux chapelles, à la corruption,
la simplicité et la pertinence dont elle est le fruit la rend d'évidence immortelle.
Nous avons vu ce bâtiment historique autant que contemporain.
Les architectes ou bâtisseurs comme Salima sont rares et précieux,
la démonstration par les exemples permet la résurgence des cultures avec un effet utile, immédiat.
Ici, dans ce lieu multi-séculaire des Aït Ouabelli,
ce bâtiment marque une époque et éveille les consciences des habitants tant pour la mémoire que pour le présent.
Bravo pour cette œuvre d'intérêt général abouti !
Rédigé par : Stan-Yves Bontems | 10 juillet 2018 à 23:49